Mes laissées – Bernard DUFOUR
Mes Laissées est le titre de ce recueil réunissant quelques textes de cet artiste dont la pensée est aussi articulée qu’incisive. Certains sont actuels, d’autres plus anciens, mais tous, aussi passionnants que pertinents, portent sur la création. Qu’il s’agisse du domaine de l’art, de la littérature, de la sémantique, du rêve, de la poésie ou de la photo, Bernard Dufour l’aborde avec fougue, à coups de sabre et sans demi-mesure.
Quand il plonge dans son œuvre ou celle de ceux qu’il aime ou n’aime pas – Goya, David, Poussin, Seurat, Renoir, François Rouan, Tinguely, Klein ou encore Barbey, Freud, Leiris, Arno Schmidt, Debord – c’est toujours dans un enthousiasme allant de l’admiration à la lapidation et le plus fréquemment avec l’humour de l’écrivain qui sait stigmatiser la sottise environnante.
Et puis il y a les femmes. Sa vie semble leur être dédiée : « C’est de possession magique qu’il s’agit. J’ai toujours peint ces figures dans des situations d’excès amoureux, amour et désir, dans des états de crise : passion, jalousie, abandon, folie de possession… devant la menace de la solitude…».
Quand il plonge dans son œuvre ou celle de ceux qu’il aime ou n’aime pas – Goya, David, Poussin, Seurat, Renoir, François Rouan, Tinguely, Klein ou encore Barbey, Freud, Leiris, Arno Schmidt, Debord – c’est toujours dans un enthousiasme allant de l’admiration à la lapidation et le plus fréquemment avec l’humour de l’écrivain qui sait stigmatiser la sottise environnante.
Et puis il y a les femmes. Sa vie semble leur être dédiée : « C’est de possession magique qu’il s’agit. J’ai toujours peint ces figures dans des situations d’excès amoureux, amour et désir, dans des états de crise : passion, jalousie, abandon, folie de possession… devant la menace de la solitude…».